Pétition « Stopper l’extrémisme de gauche – Interdire l’Antifa dès maintenant! »

Pétition des Jeunes UDF Suisse aux Chambres fédérales (Conseil national et Conseil des États) :

Nous exigeons que:

Les groupes organisés, les réseaux ou les rassemblements de la scène extrémiste de gauche encline à la violence, notamment l’«Antifa» ainsi que les ramifications du «Revolutionärer Aufbau» (Construction révolutionnaire) et autres groupes similaires, doivent être interdits.

Le droit pénal soit adapté de manière à ce que toute agression physique contre des membres de la police, des pompiers et des services sanitaires soit obligatoirement punie d’une peine privative de liberté ferme. Les auteurs de tels actes de violence, ainsi que les participants et les organisateurs de manifestations non autorisées et violentes, doivent prendre en charge les coûts occasionnés (blessures corporelles, frais d’intervention et dommages matériels).

Les services de renseignement et les organes de police créent une «task force extrémisme de gauche» interdisciplinaire chargée d’élaborer des mesures concrètes et des adaptations législatives visant à empêcher durablement le potentiel de violence de l’extrémisme de gauche et son financement en Suisse. Le Parlement accorde les moyens financiers nécessaires aux instances supracantonales responsables.

L’interdiction de se dissimuler le visage dans l’espace public, en vigueur dans tout le pays depuis le 1er janvier 2025, doit également être appliquée de manière systématique lors des manifestations non autorisées.

Les gouvernements des villes et des communes qui ne sanctionnent pas les structures et les incidents violents d’extrême gauche, qui les tolèrent, voire les soutiennent financièrement et idéologiquement (exemple de la Reithalle à Berne), soient sanctionnés par des mesures pénales appropriées de la part de la Confédération.

Pétition en allemand : www.fuer-gerechtigkeit.ch

Pétition « Stopper l'extrémisme de gauche – Interdire l’Antifa dès maintenant! »

Pétition adressée aux Chambres fédérales (Conseil national et Conseil des États) :

Nous exigeons que:

  1. Les groupes organisés, les réseaux ou les rassemblements de la scène extrémiste de gauche encline à la violence, notamment l\'«Antifa» ainsi que les ramifications du «Revolutionärer Aufbau» (Construction révolutionnaire) et autres groupes similaires, doivent être interdits.

  2. Le droit pénal soit adapté de manière à ce que toute agression physique contre des membres de la police, des pompiers et des services sanitaires soit obligatoirement punie d\'une peine privative de liberté ferme. Les auteurs de tels actes de violence, ainsi que les participants et les organisateurs de manifestations non autorisées et violentes, doivent prendre en charge les coûts occasionnés (blessures corporelles, frais d\'intervention et dommages matériels).

  3. Les services de renseignement et les organes de police créent une «task force extrémisme de gauche» interdisciplinaire chargée d\'élaborer des mesures concrètes et des adaptations législatives visant à empêcher durablement le potentiel de violence de l\'extrémisme de gauche et son financement en Suisse. Le Parlement accorde les moyens financiers nécessaires aux instances supracantonales responsables.

  4. L\'interdiction de se dissimuler le visage dans l\'espace public, en vigueur dans tout le pays depuis le 1er janvier 2025, doit également être appliquée de manière systématique lors des manifestations non autorisées.

  5. Les gouvernements des villes et des communes qui ne sanctionnent pas les structures et les incidents violents d\'extrême gauche, qui les tolèrent, voire les soutiennent financièrement et idéologiquement (exemple de la Reithalle à Berne), soient sanctionnés par des mesures pénales appropriées de la part de la Confédération.

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Important: toutes les personnes résidant en Suisse, indépendamment de leur nationalité et de leur âge, ainsi que les Suisses de l\'étranger, peuvent signer cette pétition.
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Important: toutes les personnes résidant en Suisse, indépendamment de leur nationalité et de leur âge, ainsi que les Suisses de l’étranger, peuvent signer cette pétition.

Expiration du délai de collecte: dimanche 30 novembre 2025 (un jour avant le début de la session d’hiver du Parlement)

La « honte de Berne » du samedi 11 octobre 2025 a définitivement fait déborder le vase. L’extrémisme de gauche violent menace la cohabitation pacifique et la sécurité publique en Suisse. Il est temps d’agir !


De quoi s’agit-il

La manifestation «Pro Palestine» non autorisée du samedi 11 octobre 2025 a complètement dégénéré. Il s’agissait d’une «escalade annoncée», comme l’ont justement décrit les observateurs. Alors que d’importantes avancées diplomatiques étaient négociées sur la scène internationale dans le conflit au Proche-Orient, ceux qui prétendaient manifester pour la paix en Suisse ont montré leur vrai visage: 18 policiers ont été blessés et au moins 57 bâtiments ont été endommagés. Les images de cette manifestation qui a mal tourné ont choqué: il ne s’agissait pas ici de manifester pour la paix, mais de répandre la haine et la violence.

Des foules d’extrême gauche ont saccagé une grande partie du centre-ville de Berne et donné libre cours à leurs fantasmes violents. Des policiers ont été blessés, des biens privés endommagés et des personnes aux opinions divergentes menacées. Les Juifs, en particulier, ne se sentaient plus en sécurité: les services de sécurité ont dû leur conseiller de ne pas s’identifier publiquement comme Juifs. Et cela dans la ville de Berne, gouvernée par la gauche écologiste, qui se présente habituellement comme multiculturelle et ouverte sur le monde. L’antisémitisme se manifeste à nouveau sous différentes formes… Le fait que de telles situations se produisent en Suisse en 2025 est un constat d’échec!

Exiger la responsabilité

Même si tous les participants à la manifestation non autorisée de Berne n’étaient pas enclins à la violence, ils n’ont pas empêché les défilés violents des extrémistes de gauche ni les slogans antisémites hurlés par certains d’entre eux. Une fois de plus, les manifestations dites «pro-Palestine» ont donné lieu à des violences et à des slogans haineux – la coupe est désormais pleine. Il est temps de demander des comptes aux médias qui déforment l’information, ainsi qu’aux gouvernements et aux parlements municipaux qui, depuis des années, laissent faire et protègent la scène d’extrême gauche.

Gauchisme violent

Les manifestations «Pro Palestine», infiltrées par leurs acteurs, ne sont qu’un exemple parmi tant d’autres qui prouvent à quel point la scène d’extrême gauche organisée, profondément marquée par la violence, est devenue dangereuse. Depuis des années, le Service de renseignement de la Confédération (SRC) documente dans ses rapports annuels les événements violents à motivation extrémiste, dont la plupart doivent depuis longtemps être attribués à l’extrémisme de gauche! Malheureusement, de nombreux Suisses n’en ont pas connaissance, car les médias grand public de gauche leur cachent ces faits.